Samedi et dimanche dernier (26 et 27 avril), la classe 1963 de mon village s'est retrouvée pour fêter les 45 ans à Baiersbronn-Obertal . un village situé dans la Forêt Noire (Schwarzwald) . Nous y sommes allés ensemble en bus.
Pour des raisons diverses, quelques-uns manquaient. Nous voilà avec nos conjoints pour une photo de groupe devant notre hôtel :
Pendant ces deux jours, nous avons fait de belles petites promenades, visiter un musée, une distillerie, nous nous sommes retrouvés autour des tables pour les repas, en bavardant et rigolant beaucoup.
Le moment le plus attendu était la soirée dansante animée par Werner, le patron de l'hôtel et par "de qui j'ai oublié de demander le prénom", qui maîtrisait tous les registres musicaux avec son synthé et sa belle voix. Les voilà en action :
Werner jouait avec des instruments un peu spéciaux. Ici il tape la mesure avec des cuillères en bois. Nous n'étions pas au bout de nos surprises, ni au bout de franches parties de rigolades. Pour certains morceaux de sa composition, il avait besoin de notre aide.
Le voici entrain de jouer la Schenkelpolka ou la polka des cuisses. Il lui fallait évidemment des cuisses qu'il a précautionneusement choisi dans le public. Les miennes ne devaient pas lui convenir (hihihi)
Dans un registre un peu plus osé, il nous a interprété la Arschpolka ou
La polka du Q (si,si c'est ça)
Vous vous doutez bien que les participantes ne sont pas sorties tout à fait indemnes de ces deux morceaux. Il y avait une petite part de souffrance. Pour les soulager et se faire pardonner, notre musicien chef a prodigué quelques massages aux endroits sollicités et a offert à nos bonnes joueuses un remède miraculeux de sa fabrication : du schnaps
Un détail qui n'a pas échappé aux hommes qui aiment ce genre de remède. Ils ont demandé que leurs popotins soient aussi fouettés. Je n'ai malheureusement pas de photos à vous montrer alors que moi-même, je faisais partie des bourreaux (hihihi). Ce sont surtout les fesses de mon mari qui ont attiré ma cuillère en bois...Mais non, je n'ai pas le fantasme de la fessée mais bien celui de la vengeance et je me suis vengée...
Nonet Hudle